La Fédération de la relève agricole du Québec (FRAQ) est heureuse d’accueillir Philippe Pagé au sein de son équipe et d’annoncer sa nomination à titre de coordonnateur de l’Interrégion Sud. Son mandat consistera à poursuivre les actions entreprises par le projet de FRAQ 2.0 en accompagnant l’Association de la relève agricole de la Montérégie-Ouest (ARAMO), l’Association de la relève agricole de Saint-Hyacinthe (ARASH), le Syndicat de la relève agricole du Centre-du-Québec (SRACQ) et le Syndicat de la relève agricole de l’Estrie (SYRAE) dans leurs activités.
Domicilié à Saint-Camille en Estrie, un village reconnu pour son dynamisme et son audace, Philippe a étudié en enseignement au secondaire de l’univers social à l’Université de Sherbrooke avant que sa carrière prenne un virage vers la politique.
Dans le passé, Philippe a entre autres occupé le poste d’attaché politique au sein du cabinet du ministre de la Santé et des Services sociaux, le Dr Réjean Hébert, puis pour le député de Richmond-Arthabaska, André Bellavance. Il a aussi piloté des projets au sein de la Corporation de développement socio-économique de sa municipalité.
L’agriculture fait partie de la vie de Philippe depuis son enfance; il a grandi sur la ferme porcine familiale tout en continuant à y travailler par intermittence depuis l’âge de ses 10 ans. L’entreprise qui exploite deux maternités formant un troupeau de 2 200 truies, compte aujourd’hui une demi-douzaine d’employés et repose dans les mains expertes de son frère jumeau, Sébastien, de sa belle-sœur Anne-Josée, de sa sœur Marie-Ève, et de ses parents, Jacques et Manon.
Reconnu pour son implication dans sa communauté, ses tatouages et sa répartie, Philippe est le président du conseil d’administration du P’tit Bonheur de Saint-Camille, un centre culturel présent sur la scène artistique depuis près de 30 ans, ainsi que le responsable du journal de sa localité.
Un infatigable travaillant qui n’a pas peur de la besogne, Philippe occupe secrètement ses courtes nuits à enfiler un costume de justicier et à chasser le crime, comme pourrait le laisser croire le faible taux de criminalité de son village.